Chanson Et maintenant par Gilbert Bécaud…
chantée aussi par Isabelle Boulay
J’aime cette chanson et je pense à Sido et à Julien…
Chanson Et maintenant par Gilbert Bécaud…
chantée aussi par Isabelle Boulay
J’aime cette chanson et je pense à Sido et à Julien…
J’adore cette chanson de Lalanne,
Demain, dès l’aube… Lire la suite
« J’te l’dis quand même », « Qui a le droit » & « Casser la voix » interpretées par Maurane, Lynda Lemay et Daniel Lavoie vidéo puis Bruel en photos et vidéos
paroles: Lire la suite
Daniel Lavoie et Isabelle Boulay… Trop beau en vidéo
Qui sait, peut-être je n’ai pas de tête Lire la suite
Ces quelques vers me trottent dans la tête depuis mes 15 ans: Lire la suite
Nudité de la vérité«Je le sais bien» Lire la suite |
Le film 4 mariages et un enterrement... est surtout inoubliable, à cause du poème qu’on y découvre et qui nous frappe en plein coeur…
Arrêtez les pendules!
Arrêtez les pendules, coupez le téléphone!
Empêchez le chien d’aboyer pour l’os que je lui donne!
Faites taire les pianos! Et sans roulement de tambour,
Sortez le cercueil avant la fin du jour!
Que les avions qui hurlent au dehors
Dessinent dans le ciel ces trois mots : « Il Est Mort »!
Nouez des voiles noirs aux colonnes des édifices!
Gantez de noir les mains des agents de police!
Il était mon Nord, mon Sud, mon Est et mon Ouest,
Ma semaine de travail, mon dimanche de sieste,
Mon midi, mon minuit, ma parole, ma chanson…
Je croyais que l’Amour jamais ne finirait : j’avais tort…
Que les étoiles se retirent! Qu’on les balaye!
Démontez la lune et le soleil!
Videz l’océan! Arrachez la forêt!
Car rien de bon ne peut advenir désormais….
de Wystan Hugh Auden
Le poème de W.H.Auden dans le film 4 mariages et 1 enterrement est intitulé Funeral Blues
Stop all the clocks, cut off the telephone,
Prevent the dog from barking with a juicy bone,
Silence the pianos and with muffled drum
Bring out the coffin, let the mourners come.
Let aeroplanes circle moaning overhead
Scribbling on the sky the message He Is Dead,
Put crepe bows round the white necks of the public doves,
Let the traffic policemen wear black cotton gloves.
He was my North, my South, my East and West,
My working week and my Sunday rest,
My noon, my midnight, my talk, my song;
I thought that love would last for ever: I was wrong.
The stars are not wanted now: put out every one;
Pack up the moon and dismantle the sun;
Pour away the ocean and sweep up the wood.
For nothing now can ever come to any good.
Souvenir de lycée, un poème de Robert Desnos, m’avait infiniment touchée et marquée… Lire la suite